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Game Changers
- Women in Agriculture

Essayons un jeu de réflexion

À votre avis,

quel est le pourcentage de nourriture produit par les femmes dans les pays en développement ?

Cultiver des denrées alimentaires tout en continuant à avoir faim ?

690 millions de personnes dans le monde entier sont affamées. Que diriez-vous : quel est le pourcentage de femmes et de filles parmi ces personnes ?

Essayons un jeu de réflexion

Supposons que les femmes du monde entier aient le même accès aux ressources que les hommes. Combien de personnes affamées pourraient, selon vous, être nourries grâce à une augmentation de la production agricole ?

Selon vous, que devrait changer avant tout pour permettre aux femmes d'utiliser ce potentiel ?

33 %

de tous les utilisateurs ont choisi la même réponse que vous ! L'autonomisation - l'émancipation ciblée des filles et des femmes - est un instrument important pour leur permettre de participer et de s'engager sur un pied d'égalité. Dans cette exposition, vous ferez la connaissance de femmes qui donnent tout pour l'autonomisation tout en s’autonomisant elles-mêmes !

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de tous les utilisateurs sont du même avis que vous: nous devrions créer des conditions cadres qui garantissent l'égalité d'accès à l'éducation, à  la participation, à l'argent et à la terre pour tous les sexes. Ce serait un turbo pour le développement durable - les femmes de cette exposition montrent comment l'activer.

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de tous les utilisateurs le voient de la même façon que vous : sans les hommes, ça ne va pas le faire ! L'égalité des sexes apporte de nombreux avantages - pour tous les membres de la société. Plus les hommes et les femmes s'unissent, plus le développement est durable. C'est pourquoi cette exposition donne la parole aux femmes qui s'engage en faveur de l'égalité des droits dans leurs communautés, même lorsqu'elles parlent aux hommes.

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Les femmes changent le monde

Le concours

Au printemps 2020, avec le concours « Game Changers - Women in Agriculture » la recherche de sept lauréates potentielles a commencé en Afrique et en Asie. Leur exemple montre l’influence positive que les femmes ont sur le développement rural lorsqu’elles peuvent réaliser pleinement leur potentiel. Le concours a été lancé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) dans le cadre de l’initiative spéciale UN SEUL MONDE sans faim créée en 2014. L’égalité de genre et la réalisation des droits des femmes sont des critères centraux de la politique allemande de développement.

Un monde sans faim est possible!

Mettre fin à la faim et à la malnutrition est l'objectif 2 des objectifs de développement durable convenus au niveau international.

Avec l'initiative spéciale UN SEUL MONDE sans faim, la coopération allemande de développement contribue à atteindre cet objectif. Un instrument efficace dans ce contexte est la promotion de l'agriculture durable. Elle crée des revenus et des emplois et peut garantir l'approvisionnement en nourriture des populations à long terme.

Les projets ont également déjà apporté des changements notables pour de nombreuses femmes.

13 ORGANISATIONS PARTENAIRES - 16 PAYS

13 organisations internationales partenaires de l’initiative spéciale UN SEUL MONDE sans faim ont répondu à l’appel et ont désigné 48 femmes venant de 16 pays.

Les sept lauréates

Un jury international a sélectionné les sept lauréates en août 2020. Ces sept femmes ont changé le monde autour d’elles – elles sont les « Game Changers – Women in Agriculture » ! Pour plus d’informations sur le prix et les lauréates, consultez le site weltohnehunger.org.

Sept femmes et leurs
histoires du changement

Les femmes changent le monde

 

 

 

 

« C’est ce que prouvent les sept Game Changers. Leur succès est une source d’inspiration et de motivation pour les femmes et les filles du monde entier. »

Dr. Maria Flachsbarth, porte-parole du prix

Secrétaire d’État parlementaire au ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement

Bariétou Agbere se bat pour les droits des femmes

Sept femmes et leurs
histoires du changement

Euphrasie et son avenir fructueux à la campagne

Bariétou Agbere se bat pour les droits des femmes

Togo

L’organisation RENAFAT

Bariétou Agbere est la présidente de l’organisation RENAFAT. Elle encourage les agricultrices à former des coopératives et à commercialiser leurs produits ensemble. Grâce à RENAFAT, plusieurs entreprises ont déjà été créées sur différents sites. Ici, les femmes récoltent et transforment du riz, des arachides et des noix de karité.

L’organisation RENAFAT

« C’est à Bariétou Agbere que l’on doit la création du réseau national des femmes agricultrices au Togo. Engagée dans ce réseau avec beaucoup de succès depuis de nombreuses années, elle jouit d’une grande reconnaissance au niveau régional, mais aussi national. Elle a ainsi réussi à mobiliser les femmes et à les gagner à la cause du changement. »

 

Petra Bentkämper, Présidente de l’Association allemande des femmes du monde rural et membre du jury

La discrimination à l’égard
des femmes

Beaucoup de femmes ne bénéficient pas de conditions de départ faciles ; elles sont souvent illettrées et n’ont pas ou ont peu d’instruction scolaire. De plus, elles n’ont souvent pas accès à l’argent, p. ex. sous forme de prêts, pour améliorer leur vie. Elles sont désavantagées par rapport aux hommes à d’autres égards égalements.

L’union fait la force !

La solution de Bariétou à ces problèmes : l’union fait la force ! Son association RENAFAT rassemble les femmes des zones rurales, leur offre une formation et les met en réseau. Elle les met en relation avec des organisations et des institutions telles que les banques. Cela leur permet de trouver des moyens de se construire une vie. Elles reçoivent un soutien lorsqu’elles ont des difficultés à faire valoir leur droit à la terre.   

Bariétou Agbere est donc une précurseuse des droits des femmes au Togo.

La vision de Bariétou

« Mon rôle est d’aider les femmes à se développer. En créant des activités génératrices de revenus avec elles, mais aussi en les sensibilisant à assumer la responsabilité de leurs activités. »
 
Bariétou Agbere, Game Changer

Berietou Agbere

Pas à pas vers une société plus juste

Même si elle ne compte pas renverser complètement la société rurale - dont elle fait partie - Bariétou Agbere avance, en compagnie de ces femmes, d'un pas décidé vers une société plus juste, qui permet le développement de tous et toutes.  

Son travail et sa force de persuasion sont très appréciés des femmes comme des hommes.

« Je suis très contente, parce qu’aujourd’hui la femme rurale peut s’exprimer dans sa langue et sortir de sa coquille pour parler. »

Bariétou Agbere, Game Changer

Voulez-vous en savoir plus sur Bariétou Agbere ?

Vous trouverez plus d’information ici.

Le paradis vert
de Ramvati Adiwashi

Euphrasie et son avenir fructueux à la campagne

Benin

Les pertes de tomates au Bénin

Dans les pays en développement, environ un tiers de la nourriture se perd. Dans les zones rurales, c’est un problème majeur. D’énormes quantités de légumes frais se gâtent avant ou pendant leur transport vers les marchés. Cependant, des mesures simples peuvent déjà aider - par exemple, la mise en place d’installations de stockage communautaires réfrigérées, dans lesquelles les familles d’agriculteurs peuvent mettre leur récolte à l’abri. La mise en conserve des légumes est également une solution. En outre, les marchandises stockées de manière centrale peuvent être transportées plus facilement et plus rapidement  sur les marchés ou à destination d’autres acheteurs.

La création d’AgroExpress

En 2013, Euphrasie a vu que le problème présentait une opportunité commerciale. Elle a fondé l’entreprise AgroExpress pour que chacun et chacune puisse gagner de l’argent avec les tomates au lieu de les laisser pourrir.

Une histoire de réussite de la transformation de la tomate

Euphrasie a commencé par faire cuire des tomates dans les casseroles de sa belle-mère.

Une histoire de réussite de la transformation de la tomate

Aujourd’hui, son entreprise transforme chaque année des tonnes de tomates en poudre et en purée et réalise un chiffre d’affaires annuel remarquable se montant à 19 millions de francs CFA, soit environ 30 000 euros.

Une décision réfléchie

Avec son diplôme universitaire, Euphrasie, comme beaucoup de femmes instruites, pourrait facilement trouver un emploi bien rémunéré en ville. Néanmoins, elle a décidé de mettre à profit son potentiel d’entrepreneuse dans une zone rurale et a suivi des formations spécialisées en management proposées par la GIZ.

Ländliches Unternehmertun

Une situation gagnant-gagnant

L’entrepreneuriat rural peut durablement porter ses fruits si, comme ici, les pertes de nourriture sont stoppées et des opportunités de revenus sont ainsi créées. Il s’ensuit une situation exemplaire dans laquelle tout le monde est gagnant, puisqu’elle allie sécurité alimentaire et gain de revenus.

« Elle est une entrepreneuse innovante. Une femme déterminée à aller de l’avant et qui a le potentiel de créer beaucoup d’emploi. »
 
Samson Kougbadi, GIZ Bénin

Voulez-vous en savoir plus sur Euphrasie Dassoundo Assogba ?

Vous trouverez plus d’information ici.

Juliette et son vent frais pour les noix de cajou du Togo

Le paradis vert
de Ramvati Adiwashi

Inde

Un modèle

« Grâce à son jardin nutritionnel florissant, Ramvati Adiwashi est devenue un modèle pour d’autres femmes de son village et des villages voisins. »

Neha Khara, GIZ Inde

La faim à Madya Pradesh

Dans le Madhya Pradesh, l'État de l'Inde centrale, la proportion de la population souffrant de la faim est élevée. Les enfants, les adolescentes et les femmes sont particulièrement touchés. La raison en est les normes sociales, par exemple qu'ils mangent en dernier et qu'ils mangent ce qui reste.

Comme beaucoup d'autres personnes ici, Ramvati Adiwashi a participé à des cours de formation sur une meilleure nutrition. Pour elle, il s'agissait d'une formation participative dans le cadre d'un projet de l'initiative spéciale UN SEUL MONDE sans faim.

La formation de Ramvati

Contrairement à beaucoup d'autres femmes et hommes, Ramvati, qui vient d'un milieu modeste, a progressivement élargi ses connaissances en matière de nutrition après la formation.

Aujourd'hui, elle est elle-même multiplicatrice. Elle enseigne aux femmes de son village comment elles peuvent nourrir leur famille de manière saine et durable, notamment en cultivant leurs propres légumes de manière biologique, en cuisinant divers plats et en donnant à leurs bébés des aliments complémentaires sains.

Eau propre - alimentation saine

Souvent, ce sont des technologies simples qui apportent des changements positifs pour une société. Chez Ramvati, en plus des potagers privés, ce fut l’introduction du filtre à eau « Matka ». Produit sur place de manière durable, il purifie l’eau de puits, souvent contaminée, pour la rendre potable.

Ses conseils

« Je conseille à toutes les femmes de commencer à jardiner et d’utiliser un filtre à eau pour obtenir de l’eau potable propre et sûre. Il est important que toutes les femmes prennent mieux soin de leur alimentation et de leur santé. »

 

Ramvati Adiwashi, Game Changer

Plus de 100 hommes et femmes ...

... à Dalarna Khurd, ont bénéficié de l’engagement de Ramvati Adiwashi.

 

« Malgré des possibilités limitées, elle améliore la situation de sa propre famille ainsi que celle d’autres familles. »

 

Prof. Dr. Regina Birner, Université de Hohenheim, membre du jury

 

Qu’est-ce qui devrait encore changer, actuellement ?

« Les hommes devraient s’impliquer à part égale dans les travaux domestiques, et s’occuper de l’alimentation ainsi que de la santé des enfants et de leurs mères. »

 

Ramvati Adiwashi, Game Changer

Voulez-vous en savoir plus sur Ramvati Adiwashi ?

Vous trouverez plus d’information ici.

Mme Akech et son oasis de variété

Juliette et son vent frais pour les noix de cajou du Togo

Togo

Juliette est une pionnière

La plupart des noix de cajou produites au Togo sont exportées à l’état brut. Presque personne ne transforme des noix de cajou pour les Togolais eux-mêmes. Juliette a été l’une des premières femmes ayant commencé à transformer ces noix saines sur place, pour ensuite les vendre sur le marché local.

Juliette permet aux femmes d’avoir une opportunité de revenu

Près de 80 femmes travaillent de façon permanente ou saisonnière dans l’entreprise de Juliette, « Cajou Aklesso ». Ici, même des mères qui allaitent ont une chance d'avoir un revenu : elles sont autorisées à amener leurs bébés au travail. 800 agricultrices et agriculteurs trouvent preneur pour leur récolte.

Une nouvelle approche

Juliette est l’une des jeunes entrepreneuses les plus innovantes du Togo rural. Elle a mis en place un service de livraison de noix de cajou. Des jeunes les transportent en voiture jusqu'aux clients. En outre, elle utilise des techniques de transformation artisanales à peine utilisées jusqu’à présent.

Elle prévoit maintenant de développer son unité de production de manière durable – en réduisant la consommation de bois et d’eau.

Partager l'information

Juliette propose des formations sur les innovations dans le domaine de la transformation des noix de cajou. Grâce aux connaissances acquises, d’autres femmes peuvent créer leur propre entreprise.

Voulez-vous en savoir plus sur Juliette Pyalo Sebou ?

Vous trouverez plus d’information ici.

Krishna Radha et son chemin courageux vers la commercialisation

Mme Akech et son oasis de variété

Soudan du Sud

Apprendre les uns des autres

Grâce au soutien de l’organisation non gouvernementale World Vision, Akech Manyuat Gong, petite exploitante agricole et mère de sept enfants, a pu participer à des cours de formation et devenir une meilleure agricultrice. Dans son village de Hadic, situé dans l’État fédéral de Warrap au Soudan du Sud, elle montre dorénavant aux autres comment faire.

Le système de la diversité de Mme Akech

Au Soudan du Sud, où des phénomènes climatiques extrêmes font partie du quotidien, les méthodes de culture durables et résistantes au climat sont particulièrement importantes : Akech cultive donc une grande variété de fruits et de légumes, comme le maïs, le sésame et les mangues. La diversité rend les petits agriculteurs et agricultrices plus résistant·e·s aux facteurs environnementaux et aux crises. Si, par exemple, la récolte de maïs est perdue en raison d’une infestation de parasites, les familles d’agriculteurs peuvent toujours récolter d’autres fruits des champs, les consommer elles-mêmes puis en vendre le surplus.

Akech Gong

Mme Akech sur le marché

Grâce à sa manière intelligente de cultiver les légumes, Akech obtient tellement de surplus qu’elle peut vendre les produits de son champ sur le marché le plus proche. Cela procure non seulement un revenu supplémentaire à sa famille, mais cela motive surtout les autres femmes de sa communauté à faire la même chose. De nombreux petits agriculteurs et de petites agricultrices des zones rurales isolées ont peu accès aux marchés pour vendre le surplus de leur production. Cela les empêche de gagner de l’argent supplémentaire pour couvrir les dépenses quotidiennes telles que les frais de scolarité, de transport, ou de médicaments, mais aussi d’investir dans du matériel agricole mécanisé. Ils restent pauvres. L’accès aux marchés est l’un des objectifs de l’initiative spéciale UN SEUL MONDE sans faim.

Une petite révolution

Ce que fait Akech est une petite révolution pour son village en termes de rôles de genre.

« Quiconque appuie les femmes et leur donne la position qu’elles méritent sera gagnant ». 
 
Silvia Holten, World Vision

Voulez-vous en savoir plus sur Akech Manyuat Gong ?

Vous trouverez plus d’information ici.

Janet Adade et sa grande vision pour les petits grains

Krishna Radha et son chemin courageux vers la commercialisation

Inde

Krishna Radha

Krishna Radha est la présidente de la société de production M-Tomato, qui regroupe neuf associations de producteurs agricoles dans l’État fédéral indien de l’Andhra Pradesh et qui compte au total 7 000 membres – dont un bon tiers de femmes.

La vision de Krishna

« La vision de notre société de producteurs agricoles est de fournir aux agriculteurs des semences essentielles, des engrais et des aliments pour le bétail, tout en renforçant la commercialisation collective de tomates et de légumes. »

 

Krishna Radha, Game Changer

« Elle a une personnalité de leader et motive d’autres femmes à devenir actives elles aussi. »

Halatou Dem, membre du jury et entrepreneure, Mali

Le problème : les préjugés

Au début, Krishna a dû supporter beaucoup de critiques de la part des concurrents masculins.
Ils ont essayé de la décourager. Ils disaient que les femmes n’étaient pas capables de diriger de telles entreprises et que les activités de marketing n’étaient pas pour elles non plus.

Contre la faim, avec courage

Avec son esprit d'entreprise et son courage, Krishna a contribué à la lutte contre la faim et la pauvreté en Inde. Non seulement elle produit des denrées alimentaires à des prix équitables, mais elle veille également à ce que les petites exploitations familiales aient des revenus sûrs.

Voulez-vous en savoir plus sur Krishna Radha ?

Vous trouverez plus d’information ici.

Soyez un Game Changer, vous aussi !

Janet Adade et sa grande vision pour les petits grains

Ghana

MADOWOFA

Janet a fondé le groupe associatif entièrement féminin MADOWOFA, qui est spécialisé dans la transformation industrielle et le raffinage du riz au Ghana.

Le raffinage du riz

Janet utilise la méthode de l’étuvage pour valoriser le riz. Le trempage du riz brut puis son traitement à la vapeur favorisent la migration des vitamines et des minéraux à l’intérieur du grain de riz. Le riz étuvé est donc plus précieux sur le plan nutritionnel que le riz blanc décortiqué.

Le groupe investit également dans les matériaux d’emballages. Ces derniers augmentent l’attrait des produits et permettent d’étendre la clientèle à des consommateurs urbains et périurbains, qui normalement achèteraient plutôt du riz importé.

Au Ghana, le riz est vendu le plus souvent en vrac sur le marché. Janet a vu l’opportunité d’introduire des formats d’emballage qui répondent mieux aux besoins des consommateurs et consommatrices modernes.

Apprendre les unes des autres

Jusqu’à présent, Janet a travaillé avec plus de 1500 autres agricultrices et les a formées pour qu’elles puissent subvenir seules aux besoins de leur famille.

Un modèle

« Sa force de persuasion, son sens des affaires et sa combativité font de Janet un modèle. »
Petra Bentkämper, membre du jury

Voulez-vous en savoir plus sur Janet Adade ?

Vous trouverez plus d’information ici.

Soyez un Game Changer, vous aussi !

Dans quelle mesure trouvez-vous les histoires de « Game Changers - Women in Agriculture » inspirantes ?

66 %

des visiteurs trouvent les histoires des "Game Changers" très inspirantes. Cela nous fait plaisir ! Vous souhaitez nous faire savoir ce qu'ils vous inspirent ?

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des visiteurs* partagent votre opinion - ils trouvent les histoires des « Game Changers » plus ou moins inspirantes. Nous ferez-vous savoir ce que vous a marqué le plus ?

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des visiteurs le voient comme vous – ils ne trouvent pas les histoires des sept « Game Changers - Women in Agriculture » très inspirantes. Peut-être avez-vous d’autres idées pour une lutte efficace contre la faim et la pauvreté ?

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Quel est votre plan ?

Que voulez-vous faire pour devenir vous-même un Game Changer et pour mettre fin à la faim et à la pauvreté ? Envoyez-nous un message avec vos idées, vos plans ou vos questions à rural.development@giz.de

Ces organisations partenaires d’UN SEUL MONDE sans faim ont nommé les sept « Game Changers – Women in Agriculture » et ont soutenu l'exposition en termes de contenu :

Illustratrice :
Sana Nasir

Sana Nasir, également connue sous le nom de Koi Nahi, est la créatrice des illustrations et des infographies de cette exposition. Elle est une illustratrice primée au niveau international qui vit et travaille à Karachi, au Pakistan.

 

À propos du projet, elle dit :

« J'ai été tellement émue et inspirée par les histoires de chacune de ces femmes incroyables qui vivent si loin l'une de l'autre, mais qui ont construit une communauté de femmes autonomes chacune à partir de leur propre jardin. Elles ont maîtrisé des modèles agricoles et commerciaux non seulement pour elles-mêmes, mais aussi pour le bénéfice de toute leur communauté, tout en ouvrant la voie à de jeunes filles et garçons par l'exemple de leur leadership et de leur endurance. Je voulais que ce sentiment d'autonomisation, d'éclat et de lumière fasse des émules. J'ai choisi des postures, des couleurs et des expressions qui représentent leur chaleur, leur confiance et l'ouverture d'esprit qui est nécessaire pour entretenir leurs espaces. C'était une vraie tâche, d’aller à la recherche et de trouver des références pour leurs décors, leurs vêtements et leurs produits ruraux. C'était un travail d'amour et c’est une pure joie de les voir toutes réunies dans cette exposition. »

Vous pouvez retrouver tous les travaux artistiques de Sana Nasir sur son site web: www.sananasir.co

Cette exposition est une production de la Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH de la part du Ministère Fédéral de la Coopération Économique et du Développement.

Responsable : BMZ UN SEUL MONDE sans faim, Division 122, Sebastian Lesch

Rédactrice : Dorothea Hohengarten, Projet sectoriel  « Espaces rurales durables » (GIZ)

Collaboration rédactionnelle GIZ : Noémie Tokplen, Elena Offner, Lennart Funck, Juliane Lutze, Hanna Weinsheimer, Sarah David, Jan Pütz, Kai Schütz, Jan Westerbarkei, Boris Büchler

Conception et programmation : Framework GmbH, Cologne + RMH Media GmbH, Cologne

Crédits photos et vidéos

Salle 1: vidéo Bariétou Agbere: © KAS/Noel Kokou Tadgenon

Salle 6: Foto Dr. Maria Flachsbarth: © Thomas Trutschel/photothek.net

Salle 8: vidéos/photos Bariétou Agbere/Maurice Gblodzro: © KAS/Noel Kokou Tadgenon

Salle 9: vidéos/photos Euphrasie Dassoundo Assogba: © GIZ/Pierre Adanon; vidéo Halaou Dem: © Halatou Dem

Salle 10: vidéos/photos Ramvati Adiwashi: © GIZ/Shubham Sharma

Salle 11: vidéos/photos Juliette Pyalo Sebou: © GIZ/Kossi Mawuli Husunukpe; vidéo Bastian Beege: © GIZ/Bastian Beege

Salle 12: vidéo Silvia Holten: © World Vision/Silvia Holten; vidéos/photos Akech Manyuat Gong: © World Vision/Scovia Charles

Salle 13: vidéos/photos Krishna Radha: © GIZ/M. Bhavya; vidéo Suhasini Huddone: © GIZ/Suhasini Huddone

Salle 14: vidéos/photos Janet Adade: © Simon Hedeka; photo de Janet sur le terrain: © Eunice Ahiabor; vidéo Angelina Yeboah:

© GIZ/Angelina Yeboah; vidéo Petra Bentkämper: © DLV/Petra Bentkämper

Montage / sous-titres vidéos: ich.tv, Cologne

Coordination vidéos: World Report, Amsterdam